Share Un article tiré du dossier « Aromates en liberté », par Emilie Nault-Simard L’essence de mélilot, cette « vanille » québécoise, trouve sa place dans les garde-mangers des grands chefs et des cuisiniers audacieux, de Montréal à New York. Par quels détours l’équipe de Gourmet sauvage est-elle passée pour extraire cette essence intrigante? En cette première journée chaude du printemps, le soleil perce les nuages et se glisse à travers la végétation. Nous sommes à Saint-Faustin-Lac-Carré, sur le terrain d’une pisciculture fermée en 1992, où Gourmet sauvage a installé son nouveau quartier général. À deux pas du mont Tremblant, à l’orée de la forêt laurentienne, les deux coureurs des bois contemporains que sont Gérald Le Gal et sa fille, Ariane, élaborent de fins produits à partir des plantes sauvages comestibles du Québec. Lire l’article complet Back to news Share